Windows 8 première édition

Avant le Windows Imagine 2011

Attention  profitez de toute la puissance de Windows 8 avec Cet aperçu!!! 🙂

Et voila american chopper uploadé par mes soins

Épisode Cobra Bike!!!

Résumé :

En 1959, le pilote automobile Carroll Shelby a remporté les 24 heures du Mans, point d’orgue d’une belle carrière.
En raison de problèmes de santé, il a été contraint de quitter la course l’année suivante et s’est tourné vers le design.
Il est notamment le créateur des fameuses Shelby Cobra et Shelby Mustang. L’équipe d’American Chopper
lui rend visite pour évoquer la création d’une moto inspirée de la Shelby Mustang.
Caractéristiques techniques :

Titre original : American Chopper : Carroll Shelby Bike

Partie 1 et 2

                                                                   

 La Veuve Noire

Portrait original des relations entre les
passionnés de motos Paul Teutul et son fils Paul Jr lorsqu’ils
s’attaquent à la création d’une moto sur le thème de la Veuve Noire.
Paul Jr commence le thème de la Veuve Noire tandis que Paul Sr essaye
de trouver le courage d’aller chez le dentiste.

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 Race Car

Paul Teutul Jr et son père ont beaucoup de mal à
se mettre d’accord alors qu’ils doivent réaliser en 10 jours une moto
de 130 000 € inspirée des voitures de course.

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Firebike

Les gars d’OCC sont de sortis pour visiter la ferme des
alligators et reptiles de floride. Mais il est temps de rentrer dans la
froide réalité de l’hiver New-Yorkais, Paul Jr commence à réaliser son
rêve, faire un chopper customisé en l’honneur des plus grands héros de
New-york..


En 1944, elle peint La Columna Rota
(«La Colonne Brisée »), une peinture avec laquelle
l’identification aux femmes mythiques de la culture populaire est
d’autant plus explicite.
Il s’agit d’un autoportrait : Frida Kahlo est
debout au centre de la composition dans un environnement
 désertique
faisant référence au
Pedregal,
la roche volcanique mexicaine que l’artiste affectionnait
particulièrement.
Elle porte un corset médical laissant apparaître sa
poitrine galbée, tandis que la partie inférieure de son corps est
couverte d’un drap blanc.
Elle est recouverte d’une multitude de clous
enfoncés dans sa peau et dans le tissu.
Elle regarde dignement le
spectateur, et, malgré le flot de larmes qui coule sur son visage, elle
reste impassible. Ces larmes sont dues aux clous qui parsèment (
Le plus grand clou sur son cœur représente la douleur émotionnelle causé par Diego) et
transpercent sa peau, mais aussi à la blessure qui ouvre son buste en
deux, du menton jusque l’abdomen.


MerCi Phine  ou devrai-je dire LunNatiK.ArT

Je voulais me fair tatouer le tableau mais c’est énorme:) alors le nom me suffit
pour l’instant j’aime ce tableau car on  perçois   toute la Douleur
que Frida Kahlo devait vivre pour peindre une tel œuvre.
Je trouve que ce tableau est magnifique de douleur..

C’était le titre d’un documentaire
que j’ai vu récemment ou – comme son titre l’indique – on a essayé,
pendant 40 minutes, de nous convaincre que les alunissages du programme
Apollo n’ont jamais eu lieu et ont été tout simplement réalisés en
studio dans la fameuse Zone 51.

Dans ce « long » billet, je vais essayer de vous rapporter les grandes lignes abordées dans ce documentaire.

Les preuves :

  • Malgré la clarté de l’espace, les étoiles étaient invisibles dans le ciel noir lunaire.
  • Le drapeau américain flottait, alors qu’il n’y a pas d’air sur la lune.
  • Il n’y a pas de cratère sous le module lunaire, là ou le puissant réacteur aurait brûlé le sol au moment de l’alunissage.
  • Des
    photos de la zone 51, prisent par un satellite espion russe, révèlent
    non seulement des hangars qui ressembles à des studios de cinéma, mais
    aussi des portions de terrains qui ressemble au sole lunaire et sont
    comme par hasard couverts par des cratères. C’est pour ça que l’air 51
    est soumis à une telle quarantaines selon Kaysing.
  • Absence des bruits des moteurs du module lunaire dans les documents officiels de la NASA.
  • Le
    module lunaire était instable est difficile à piloter dans un
    environnent terrestre familier, commet aurait il pu alors se poser
    parfaitement sur le terrain inconnu de la lune (On voit Neil Armstrong
    se débattre avec un engin indomptable, finalement à 100 m d’altitude,
    il fini par perdre contrôle de l’appareil mais réussi malgré tout de
    s’éjecter au dernier moment, avant le crash).
  • Départ du LEM :
    Dans les image de la phase d’ascension, on ne voit pas la traînée fumé
    qui devrait sortir du réacteur. Que voit on ? On voit le module
    décoller tout d’un coup sans la moindre fumé. Comme s’il a été juste
    hissé par des câbles.
  • Les encombrantes combinaisons spatiales,
    auraient rendu extrêmement difficile la manipulation des appareils
    photos que les astronautes portaient sur leurs poitrines. Une
    foie sur la surface lunaire, en tenu, avec l’équipement de survie, ils
    ne pouvaient pas voir les appareils, ils ne pouvaient pas pencher leurs
    têtes assez bas, ils n’avaient pas de viseur, ils devaient viser en
    déplaçant leurs corps
    . Si les appareils étaient difficile à
    manipuler, comment des milliers de photos ont elles étaient prise avec
    une telle clarté cristalline et un cadrage précis ?
  • Sur la lune
    la seule source de lumière pour les astronautes était le soleil, et
    pourtant sur des photos prisent par Apollo 14 et 17, les ombres sont projetés dans directions différentes, suggérant plusieurs sources de lumière.
  • Dans
    plusieurs photos, on voit un astronaute descendre dans l’ombre imposant
    du module lunaire, pourtant, son corps est toujours visible. Comment se
    fait il qu’il ne soit pas drapé d’obscurité ?
  • Dans une autre,
    le soleil est juste derrière l’astronaute, le contour de sa silhouette
    devrait être imprécis, pourtant on reconnaît les moindres détails de
    son costume. On dirait qu’il est sous un projecteur.
  • Pourquoi certaines images prisent à des moment différent et en des endroits différent présentent des arrières plan identiques ?
  • Des croix
    étaient gravés dans des appareils photos pour repérer le haut de chaque
    image. Sur plusieurs photo ces repères, sensés être au premiers plans,
    sont partiellement masqués par des objets photographiés : Le drapeau
    américain, l’antenne du patrouilleur lunaire, ou l’astronaute … Cela
    ne peut être que le résultat d’une manipulation technique.
  • Ceinture de Van Allen
    : Tout humain traversant cette ceinture, tomberait extrêmement malade
    ou aurait été tué par les radiations quelques instants après. A part
    les missions Apollo, aucun vol habité n’a jamais tenté de traverser ces
    radiations mortelles. D’après le physicien Ralph René,
    pour protéger les astronautes, la capsule aurait besoin d’un revêtement
    de plomb de 2 m d’épaisseur ! alors que la seule protection était la
    coque externe en aluminium fine comme du papier et leurs combinaisons
    faites de fibres de fer, d’aluminium et de silicone.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Tout ceux qui ont vu les documents sur ce site,
 connaissent ce sentiment. Un voile qui se déchire, sur la réalité. Une réalité assez dure où la liberté, la démocratie et les citoyens seraient bien plus fragiles que ce que nous présente "l’histoire officielle".
 Un sentiment d’urgence pour exiger la vérité sur un point capital de l’histoire.  Et parfois l’incompréhension des autres qui face à notre indignation, restent de marbre ou s’amusent de notre "paranoia". Le parallèle avec la question d’environnement est flagrant.
Il ya 15 ans de nombreux scientifiques alertaient déjà les médias et les gouvernements sur le problème du réchauffement climatique, mais on les laissait pour des angoissés paranoiaques.  
Aujourd’hui plus personne ne nie l’infuence catastrophique de la suractivité humaine sur l’équilibre de la planète. N’est-ce pas la même chose avec le 11 septembre, partie emmergée de l’iceberg menacant le paquebot de la liberté démocratique ? 
Faudra-t-il 15 ans pour que les plus sourds d’entre nous soient enfin convaincus qu’il faille réagir,
agir et communiquer pour trouver la vérité sur ce drame. Attendre qu’un nouveau Reichtag brule? Depuis 2001,
 les Etats-Unis ont dépensé 430 milliards de dollars dans sa lutte antiterroriste.
 430 Milliards$ alors que le FBI ne recherche même pas Ben Laden pour ces attentats (voir sa fiche). Et seulement 15 millions$ pour une enquête baclée qui était suposée désigner les coupables! Le monde laisse le gouvernement Bush mener sa politique de conquête à peine déguisée sous une chasse aux terroristes qui finalement installe les talibans au pouvoir pour mieux servir leurs intérêts.
 
 
 
 
 
 
Car bien au delà d’un de cette tragédie majeure, c’est la question d’un système (bien au-delà encore d’un gouvernement) qui ne serais pas au service des citoyens. Un système où les machines élisent ceux qui les fabriquent.  Un système où les médias parlent pour servir ceux qui les possèdent. Quel monde voulons-nous? Qui laissons-nous décider à notre place de cette question cruciale? Bien sûr, seul face à un ensemble si gigantesque on ne peut que baisser les bras! C’est le pourquoi de la création ReOpen. Le collectif ReOpen est un mouvement citoyen apolitique regroupant des individus qui ne veulent pas attendre les bras croisés pour dire dans quelques années "On vous l’avait bien dit".  Notre action porte déjà ses fruits. La diffusion des documents est l’outil principal, les vidéos sont quotidiennement vues et téléchargées. Le tournant de notre époque est la diffusion d’information par internet, contourant les médias traditionnels souvent muselés par les actionnaires. Mais notre communication ne se cantonne pas au Web, les affiches et tracts permettent d’informer des citoyens. Les personnes de bonne volonté peuvent faire de grandes choses. Surtout lorsqu’elles se réunissent! Quoi de plus passionnant que de créer le monde de
 
DeMain?
 
 
Si TouT CeCi  Vous InTErresse  filez sur
 
 
 
Plein d’infos et de video vous attendent
OH!!!!!
Ma surprise et à quel point fut-je ravi lorsque je ma fille m’a dit qu’il y avait quelque chose dans son yaourt.
Après avoir regardé pour vérifier,
OH ma surprise du chewing gum pourri dans la mousse au chocolat Monte-Ravy.
Donc je me permets de faire de la pub  pour Lidl et Monte-Ravy.
Ci-joint, la photo de cet acte criminel.
Ma femme a directement envoyé l’objet du délit au producteur.
En attendant on vous laisse savourer la photo et n’hésitez pas à faire de la pud
pour l’hygiène et la propreté de la mousse Monte-Ravy

La mère de l’artiste, Matilde Calderón y González (18761932) est née à Mexico. Elle était la fille d’Isabel González y González et du photographe Antonio Calderón d’origine indienne. Le père de Frida, Wilhelm Kahlo (18721941) fils du bijoutier et orfèvre Jakob Heinrich Kahlo et d’Henriette Kaufmann, est né à Baden-Baden en Allemagne. À 19 ans, le jeune Wilhem reçut l’aide financière nécessaire pour effectuer la traversée jusqu’au Mexique en 1891. Il échangea alors son prénom contre son équivalent espagnol, Guillermo et gagna sa vie dans divers magasins en tant qu’employé. Après la mort de sa première femme, il épousa en 1898 Matilde Calderón et apprit aussitôt le métier de photographe auprès de son beau-père.

Frida Kahlo peindra en 1936 « Mes Grands-parents, Mes Parents et Moi » où elle raconte l’histoire de ses origines, tel un arbre généalogique. Elle a symbolisé ses grands-parents maternels mexicains par la terre, et ses grands-parents paternels allemands au moyen de l’océan. Elle est la petite fille du jardin de la « Maison Bleue » où elle est née et décédée. Au-dessus, ses parents dans la pose de leur photo de mariage.

Magdalena Carmen Frida Kahlo Calderón naît le 6 juillet 1907 dans la « Maison Bleue », actuel Museo Frida Kahlo, au milieu d’un quartier populaire de Coyoacán au sud de Mexico. C’est la troisième des quatre filles de Matilde et Guillermo Kahlo.

Dès l’âge de 8 ans (ou 6 ans selon les sources), Frida est atteinte par la poliomyélite : sa jambe droite s’amincit et le pied ne grandit pas comme il le devrait, ce qui lui vaudra le surnom de « Frida l’estropiée ».

En 1922, alors qu’elle avait 15 ans, elle intègre l’ « Escuela Nacional Preparatoria » considérée comme le meilleur établissement éducatif du Mexique. À cet âge, elle souhaitait devenir médecin ; car malgré l’intérêt qu’elle portait aux beaux-arts, elle n’envisageait pas à cette époque une carrière artistique. Frida entame de brillantes études et s’intéresse tout naturellement à la politique et cherche, comme nombre de personnes, à faire acquérir une âme mexicaine dans le pays nouvellement indépendant.

Le 17 septembre 1925, Frida prend le bus pour rentrer chez elle après ses cours. Mais l’autobus sort de la route et percute un tramway. Plusieurs personnes trouvèrent la mort sur le lieu même de l’accident. Frida, elle fut transpercée au niveau de l’abdomen par une tige de fer jusqu’au vagin, le pied droit fut broyé, la jambe gauche en mille morceaux (11 fractures). Le bassin, les côtes et la colonne vertébrale furent également brisés. L’épaule ne fut que démise. Elle fut clouée au lit pendant trois mois et passa un mois à l’hôpital. Environ un an après l’accident, elle dut retourner à l’hôpital et on constata qu’une vertèbre lombaire était fracturée. Elle dut porter divers corsets en plâtre pendant neuf mois pour guérir. C’est à ce moment là qu’elle commença à peindre : on plaça un baldaquin sur son lit sous lequel on mit un miroir sur toute la longueur pour qu’elle puisse se servir de son reflet comme modèle. Ce fut le début d’une longue série d’autoportraits, parmi les 150 peintures qu’elle accomplira dans sa vie. Elle devra subir de très nombreuses interventions chirurgicales durant sa vie, et sera souvent restée couchée dans son lit d’hôpital.

En 1928, Frida Kahlo s’inscrit au Parti Communiste Mexicain (PCM). Elle s’intéresse particulièrement à l’émancipation de la femme dans la société mexicaine qui est encore très machiste. Elle décide dès son jeune âge, qu’elle ne veut pas suivre le même parcours que les autres femmes mexicaines. Elle a un désir de voyage, d’étudier, elle veut la liberté et le plaisir. Grâce à la photographe Tina Modotti, Frida rencontre Diego Rivera (18861957).

 

 

Elle admirait beaucoup ce peintre et lui demanda son avis au sujet de ses tableaux pour savoir s’il la trouvait douée. Le muraliste fut impressionné par les travaux de la jeune mexicaine : « Les toiles révélaient une extraordinaire force d’expression, une description précise des caractères et un réel sérieux. Elles possédaient une sincérité plastique fondamentale et une personnalité artistique propre. Elles véhiculaient une sensualité vitale encore enrichie par une faculté d’observation impitoyable, quoique sensible. Pour moi, il était manifeste que cette jeune fille était une véritable artiste. » Frida Kahlo et Diego Rivera, de 21 ans son aîné, se marient le 21 août 1929. Ils s’installent ensemble à Mexico dans un atelier.

En novembre 1930, ils emménagent à San Francisco car Rivera avait été chargé de réaliser des peintures murales pour la San Francisco Stock Exchange et pour la California School of Fine Art, l’actuel San Francisco Art Institute. Là-bas, Frida fit la connaissance d’artistes, de commanditaires et de mécènes dont Albert Bender. Celui-ci était parvenu à obtenir une autorisation d’entrée aux États-Unis pour Diego Rivera. En remerciement, Frida réalisa en 1931 le portrait double de Frida Kahlo y Diego Rivera inspiré de leur photo de mariage.

En 1930, elle subit son premier avortement. Après l’accident, on lui avait pourtant dit qu’elle ne pourrait jamais avoir d’enfant, que son bassin, qui avait été fracturé en trois endroits, empêchait une position normale pour l’enfant et un accouchement dans les normes. Mais elle fut de nouveau enceinte lors de leur séjour à Détroit. Au début de cette deuxième grossesse, Frida alla donc voir un médecin à l’Henry Ford Hospital. Il lui dit « qu’à son avis il valait mieux qu’[elle] garde le bébé au lieu d’interrompre la grossesse et que, malgré [sa] mauvaise condition physique, la petite fracture du bassin, de la colonne vertébrale, etc., etc., [elle pourrait] avoir un enfant par césarienne sans trop de difficultés ». Malgré les prévisions du docteur, elle fit une autre fausse couche le 4 juillet 1932. Elle reflète ses sentiments, son impression de solitude et d’abandon après la perte de l’enfant dans le tableau Henry Ford Hospital ou Le Lit Volant. Nous pouvons voir au centre de ce tableau, un fœtus masculin surdimensionné en position embryonnaire : c’est l’enfant perdu lors de la fausse couche, le « petit Diego » qu’elle avait tant espéré porter jusqu’au terme de sa grossesse.

Après ce pénible épisode, Frida Kahlo peignit surtout des tableaux qui traduisait sa lassitude et son dégoût des États-Unis et des Américains alors que son mari, lui, était toujours autant fasciné par ce pays et ne voulait pas le quitter. Elle exprima clairement son point de vue sur le pays « des gringos » dans Autoportrait à la frontière entre le Mexique et les États-Unis et dans Ma robe est suspendue là-bas. Malgré son admiration pour le progrès industriel des États-Unis, la nationaliste mexicaine se sentait mal à l’aise de l’autre coté du Río Grande. Entre temps, la mère de Frida meurt en 1932.

 

 

En décembre 1933, Diego Rivera céda et rentra avec sa jolie femme au Mexique. Ils s’installèrent dans une maison à San Angel construite par un ami architecte et peintre Juan O’Gorman. Des difficultés de santé obligèrent Frida à retourner à l’hôpital et elle dut subir une autre interruption de grossesse.

En 1935, elle ne réalisa que deux tableaux dont Quelques petites piqûres. Ce tableau évoque un meurtre par jalousie perpétré sur une femme. Comme la plupart de ses œuvres, cette représentation doit être mise en rapport avec sa situation personnelle. En effet, Diego Rivera, qui avait eu plusieurs relations extra-conjugales, eut une aventure avec Cristina, la sœur de Frida Kahlo, qui lui avait souvent servi de modèle. On est amené à croire que ce tableau est l’illustration de sa blessure émotionnelle. Profondément blessée, elle quittera le foyer commun quelques mois pour s’isoler et s’installe dans un appartement au centre de Mexico. Pendant cette période, elle aussi eut plusieurs relations extra-conjugales, notamment avec des femmes. Au milieu de 1935, elle partit avec deux amies pour New York et ne reviendra que lorsque la liaison entre sa sœur et Rivera fut terminée. Fin 1935, elle rentra à San Angel.

Le 9 janvier 1937, Diego parvient à accorder l’asile politique à Léon Trotski qui est accueilli avec sa femme dans la « Maison Bleue » où Frida et Diego vécurent deux ans, jusqu’en avril 1939. Une brève liaison que l’on dit passionnée se développa entre Trotski et Frida. À la fin de cette aventure, l’artiste lui offre « affectueusement » pour son anniversaire, le 7 novembre 1937, Autoportrait dédié à Léon Trotski où elle se montre sous son meilleur jour. « Pour Léon Trotski, je dédicace cette peinture avec tout mon amour… ». Il sera assassiné deux ans plus tard. André Breton et Jacqueline Lamba sont arrivés au Mexique en avril 1938 et vécurent dans la maison du couple Kahlo-Rivera à San Angel. Pour Breton, chef de file du surréalisme, le Mexique en était l’incarnation et il interpréta les œuvres de Frida Kahlo comme surréalistes même si elle ne pensa pas appartenir à ce style. « On me prenait pour une surréaliste. Ce n’est pas juste. Je n’ai jamais peint de rêves. Ce que j’ai représenté était ma réalité ». Breton est subjugué par Frida, il dira d’elle un jour « Frida est une bombe avec un ruban autour ». Au début du mois d’octobre 1938, Frida Kahlo présente ses œuvres dans la galerie de Julien Levy. Ce fut sa première exposition individuelle. La moitié des vingt-cinq œuvres présentées y fut vendue. Pendant son séjour, qu’elle entreprit seule, à New York, elle eut une liaison très tendre et passionnée avec le photographe Nickolas Murray qui fit de magnifiques photos d’elle. En mars 1939, Frida se rendit à Paris pour y exposer ses œuvres à Renou & Colle.

A son retour, sa relation avec Diego Rivera fut de plus en plus mouvementée et en décembre, c’est le divorce. À cette même période, elle eut de nouveau de grandes douleurs dans la colonne vertébrale ainsi qu’une mycose aiguë, infection de la peau, à la main droite. Frida se rendit à San Francisco en septembre 1940 pour être soignée par le Docteur Eloesser, qu’elle connaît depuis bien longtemps. Pour le remercier de ses soins, elle peignit pour lui Autoportrait dédié au Dr. Eloesser. En bas de ce tableau, sur une banderole se trouve une dédicace « J’ai peint mon portrait en 1940 pour le Dr. Eloesser, mon médecin et meilleur ami. Avec toute mon affection, Frida Kahlo. » Diego Rivera étant lui aussi à San Francisco à cette époque, il proposa à Frida de l’épouser de nouveau. Après une réponse positive de l’artiste, le second mariage eut donc lieu à San Francisco le 8 décembre 1940, jour de l’anniversaire de Diego. Ils s’installèrent tous les deux dans la « maison bleue » à Coyoacán après la mort du père de Frida.

En 1942, l’artiste commence son journal où elle y commenta son enfance, sa jeunesse, et sa vie jusqu’à sa mort. La même année elle fut élue membre du « Seminario de Cultura Mexicana », organisation créée par le ministre des affaires culturelles et composée de 25 artistes et intellectuels dont Frida. Elle devait encourager et diffuser la culture mexicaine, organiser des expositions, des conférences, et publier des ouvrages.

En 1943, elle dirigea une classe de peinture dans l’académie des Beaux Arts pour un total de douze heures hebdomadaires. Mais au bout de quelques mois, Frida fut obligée d’enseigner chez elle à cause de sa mauvaise santé. Des douleurs permanentes dans le pied droit et dans le dos l’empêchaient de marcher correctement. Elle devait porter un corset de fer que l’on retrouve dans La colonne brisée (page 1). En juin 1946, elle subira une opération de la colonne vertébrale où il en restera deux immenses cicatrices dans le bas du dos.

A la fin des années 1940, l’état de santé de Frida Kahlo s’était beaucoup aggravé et en 1950, elle dut entrer à l’hôpital ABC de Mexico pendant neuf mois. Après une seconde opération de sa colonne, il y eut une inflammation qui rendit inévitable une troisième opération. C’est au bout de la sixième intervention (sur un total de sept) qu’elle put se remettre à peindre néanmoins couchée sur le dos, un chevalet spécial fixé au lit. Au printemps 1953, la photographe Lola Alvarez Bravo qui avait compris l’importance du Mexique aux yeux de Frida organisa sa première exposition individuelle dans son pays. Le soir de l’inauguration, la santé de Frida était si mauvaise que les médecins lui avaient interdit de se lever de son lit. Mais comme elle ne voulait en aucun cas manquer le vernissage, son lit fut transporté jusqu’au lieu de l’exposition. Elle put donc participer depuis son lit au vernissage qui fut un franc succès.

En août 1953, on dut lui amputer sa jambe droite jusqu’au genou. Cette opération lui apaisa ses souffrances mais la plongea dans une profonde dépression. Elle écrivit dans son journal en février 1954 : « On m’a amputé la jambe il y a six mois qui me paraissent une torture séculaire et quelques fois, j’ai presque perdu la tête. J’ai toujours envie de me suicider. Seul Diego m’en empêche, car je m’imagine que je pourrais lui manquer. Il me l’a dit, et je le crois. Mais jamais de toute ma vie je n’ai souffert davantage. J’attendrai encore un peu… »

Atteinte d’une grave pneumonie, Frida Kahlo s’éteignit dans la nuit du 13 juillet 1954, sept jours après son quarante-septième anniversaire. Embolie pulmonaire ou suicide ? Les derniers mots de son journal furent « Avec Joie, j’attends le départ… et j’espère bien ne jamais revenir… Frida » pourtant en travers de son dernier tableau, peint juste avant de mourir, elle a écrit : « Viva la Vida » (Vive la Vie). Elle fut incinérée le 14 juillet comme elle le désirait. « Même dans un cercueil, je ne veux plus jamais rester couchée ! ». Elle croyait aussi en la résurrection, croit-on.

 

 

Chronologie

  • 1907 : Naissance le 6 juillet à Coyoacan.
  • 1913 : Malade de la poliomyélite.
  • 1922 : Prépare des études de médecine.
  • 1925 (17 sept.) : Grave accident dans un bus.
  • 1928 : Inscription au parti communiste mexicain.
  • 1929 : Mariage de Frida et de Diego.
  • 1930 : Premier avortement de Frida.
  • 1932 : Deuxième fausse couche et mort de sa mère.
  • 1933 : Le couple part à New-York quelques mois et revient à Mexico, dans leur nouvelle maison.
  • 1934 : Dernière fausse couche et liaison entre sa sœur et Diego. Elle s’en va quelques temps du domicile de San Angel.
  • 1937 : Ils hébergent Trotsky, et a une liaison avec lui.
  • 1939 : Exposition à Paris, puis de retour à Mexico, le couple divorce.
  • 1941 : Ils s’installent dans la "maison bleue" après s’être remarié en 1940.
  • 1950 : Elle subit 7 opérations successives de la colonne vertébrale.
  • 1953 : Elle participe à sa première exposition à Mexico.
  • 1954 : Elle meurt le 13 juillet.

 

 

Bibliographie

  • Frida, une biographie de Frida Kahlo de Hayden Herera
  • Frida Kahlo de Rauda Jamis, éditions Babel.
  • Diego et Frida de Jean-Marie Gustave Le Clézio, Folio : sur la relation tourmentée des deux amants.
  • Kahlo d’Andrea Kettenmann, Taschen, pour lire et voir les peintures de Frida.
  • Le film Frida avec Salma Hayek dans le rôle de Frida Kahlo et Alfred Molina dans le rôle de Diego Rivera est inspiré par le livre de Hayden Herera.
je ne veut pas en faire la pub …..
un seul indice je peut vous donnez , il vous fauderas chercher
mais est-ce l’essence ciel de la queston?
voila
Désolé

C’est aujourd’hui ue nous apprennons la disparition de Ce grand Monsieur de le scene Xbox sur Geux;

Yopsolo,Olivier Repose en paix,

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